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Les poemes de Nikos
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Les poemes de Nikos
20 mars 2005

SamediPAS !!!

Enfin un article qui ne servira à rien....
On est le samedi 19 mars 2005, il est 15:19.
Voilà je vais vous parler de tout ce qui me passe en ce moment par la tête donc si ne voulez pas vous faire mal ou vous faire chier .... Passez votre chemin :)

Par quoi commencer … ah si :). Je sais trop pas pourquoi mais comment je suis sur les nerfs depuis ce matin :s c’est trop abusé. J’en veux à la Terre entière, vraiment. Je n’ai jamais été aussi pressé de finir les choses à commencer par cette journée. Pff le samedi, qu’est-ce que c’est pourri comme journée … cours le matin et emmerdes tout seul l’aprèm, sans qu’il y est un seul ami qui soit dispo pour passer cette  @$% !#  de journée avec moi. Si seulement je pouvais enlever cette journée de la semaine je le ferais volontiers … loin des yeux loin du cœur comme on dit, et bien j‘y crois. Je suis sûr que tu n’as même pensé une seule fois à moi dans la journée. Remarques, toi au moins tu ne devais pas t’ennuyer…
Si seulement je pouvais tout changer, si seulement je pouvais m’oublier, m’effacer, comme quand on veut effacer un cauchemar, je le ferais pour le bonheur de tous même le mien (toujours aussi égoïste le Nicolas).
J’en ai vraiment marre de penser, marre de me mettre toujours dans des situations pas possibles. Je ne sais toujours pas quoi penser ni même comment agir, tout ce que je sais c’est que tout arrêter serait m’arrêter de respirer. Non le mot n’est pas trop fort, je te promets. Mais à chaque fois que je te laisse avec lui tu me reviens presque étrangère durant quelques instants jusqu’au moment où tu te rends compte de ce que tu ressens réellement pour moi, à savoir ce que je ressens pour toi, encore et toujours. Je sais que je ne t’ai jamais possédé et que personne ne le fera jamais, mais j’ai cru que je pourrais être tien, au moins. En fait, je ne vis que dans mes rêves comme toujours. Toi tu te cherche des excuses quitte à ce qu’elles soient vraiment bidon (ou alors si elles ne le sont, c’est ton « choix » qui l’ait. choisis), pour expliquer ce que tu continue de faire.
Ces samedi j’en viens à me dire : mais qu’est-ce que tu es ?qui es-tu ? Pour quoi vis-tu encore ? Ai-je le droit de continuer à espérer à notre amour ? Dois-je continuer à vivre ? Si oui, dans quel but ? Qu’est-ce que je veux faire de ma vie ? Je ne peux vivre que pour un but ou une lutte. Je ne voudrais pas être immortel, ce serait vraiment la mort…
Le samedi est vraiment un jour à oublier dans ma semaine, un jour où il y a tellement de choses qui se passent dans ma tête que je ne peux même pas me les dire à moi-même tellement elles me font mal. Comment ne pas considérer ce chagrin qui m’empli à chaque fois, et qui vous brise tout jusqu’à l’envie de vivre, l’envie de même d’écrire ces quelques mots. Je me sens seul ces samedis, je me sens abandonné, refoulé, mal aimé, incompris, et détesté même. Comment vivre sur Terre sans faire de mal, sans se faire mal, sans oublier, sans regretter, sans pleurer, sans casser, sans se sentir frustré. Qui ne rêve de vivre avec joie, avec le sourire, avec envie, mais surtout avec insouciance ? Ce mot que je n’ai jamais connu, mais que j’ai souvent lu ou entendu. Moi qui pensais l’avoir enfin compris et trouvé, je me sens encore plus bas après l’avoir effleuré.
Pourquoi le firmament est-il si haut ? Pourquoi le sol semble si loin quand on tombe ?
Je l’ai approché, je l’ai même touché, mais maintenant, la chute me semble une chute sans fin que ceux une déchirure pourra résoudre en apparence même si la plaie restera ouverte. Je ne veux pas t’oublier, mais s’il te plaît dis-moi quoi faire, et dis-moi tout franchement. Dis-moi tout du pour et du contre.

Samedi, pffffffff !!
Sale-merdi oué plutôt.
A bientôt vous tous, je l’espère.

Nicoguitare !
Vivement dimanche pour oublier samedi en espérant qu’il sera différent.


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